Pour la reconduction de la convention de Zouktv
J'ai lu l'information se rapportant à la cessation de la convention de Zouk tv, j'ai ouvert la pétition, mais je n'ai pas signé, pourquoi ?
Parce que tout part d'un appel téléphonique d'un membre du CSA, qui, vu son nom, n'en est pas le Président, ni le Directeur.
Je me dis, et si c'était un canular ?
Je suis allé sur le site du CSA, mais je n'ai pas retrouvé la trace écrite de la décision.
Je me demande alors s'il ne vaut pas mieux demander au CSA confirmation de cette information et, dès qu'il aura répondu, nous partons tous au quart de tour, direction le CSA.
D'autant plus que j'ai noté que cet organisme n'est pas intouchable puisque certains plaignants ont obtenu de la justice la réforme de décisions de CSA.
Après avoir contacté le responsable de Zouk tv, j'apprends qu'il a adressé au CSA un courrier recommandé pour qu'on lui communique, par écrit, la décision et la motivation de la non reconduction de la convention dont il bénéficiait sans avoir fait l'objet d'aucune observation négative du dit organisme. Il n'a pas, à ce jour, la réponse. Une mobilisation est nécessaire pour obtenir la plus grande transparence dans cette affaire. Je signe donc sans réserve la pétition et je demande à ceux qui défendent le pluralisme de la signer. J'adresse en même temps au CSA, une demande d'information citoyenne sur son site.
Protester ou agir, il faut choisir.
La recrimination est une forme de capitulation, pas une méthode de lutte.
Fais régulièrement tes comptes et veille à être crédité de ce que tu as gagné.
Chlordécone, nouvelles élucubrations.
L'analyse des teneurs en chlordécone des parcelles cultivables est proposée par un organisme de défense de l'agriculture. Ses moyens sont limités et les délais sont longs. Pour une poursuite sécurisée de la pratique agricole, il convient de se donner des moyens locaux plus importants. Notamment un ou plusieurs unités mobiles d'analyse, financés par l'état, conformément à ses prérogatives légales et à ses responsabilités dans la gestion de l'usage du chlordécone. Ces équipements sont d'usage courant ailleurs qu'en Martinique, avec des coût d'investissement et de fonctionnement tout à fait raisonnables. Dans ce cas comme dans celui des personnes, un contrôle des populations doit intervenir sous des conditions à définir.
La confiance ne reviendra pas si toute action est logée dans le secret d' organismes publics ou privés qui n'auraient aucun compte à rendre.
Les pseudo apolitiques autoproclamés se dénoncent par leurs objectifs.
La démocratie consiste à évaluer À TOUT MOMENT les actions et les faits politiques, à critiquer et proposer.
Ce droit est ouvert à tout citoyen. L'opposition, indispensable au bon fonctionnement de la vie publique, a un rôle essentiel de vigilance et de contrôle. Elle manquerait à ses devoirs et à sa vocation si elle se désintéressait de cette mission.
Dans une institution politique, telle l'état ou une collectivité, l'exécutif désigné par la majorité, prépare et propose des décisions, en rapport avec les orientations pour lesquelles elle a été élue.
Le législateur a institué, pour assurer un fonctionnement efficace du système des mécanismes appropriés.
Une association de soutien au gspbpac, s'est créée pour fustiger et condamner l'opposition démocratiquement élue et qui honore ceux qui les ont élus en restant actifs et vigilants.
Cette association qui compte à sa tête des représentants notoires de la majorité, qui se prétendent apolitiques, s'est donc donnée comme objet de piétiner la démocratie.
Il est fallacieux et pernicieux de prétendre que l’opposition pourrait empêcher la majorité de travailler.
La prime majoritaire permet à la majorité de travailler sereinement, sauf quand elle se divise par son sectarisme et ses luttes internes d'ambitions et de pouvoirs.
C'est leurs propres fautes.
Chlordécone, quelques élucubrations
364000 Martiniquais. 150 € par analyse du chlordécone. Coût total: 54600000€.
Répartis sur 3 ans: soit 18200000€ par an.
Si la capacité en laboratoires d'analyses est insuffisante, 5 laboratoires mobiles travaillant 320 jours par an, soit 4800 jours de fonctionnement sur la période et 75 analyses par jour et par laboratoire. A peu près autant pour la Guadeloupe.
Qui paiera? L'état.
Aux spécialistes de la chose médicale d'évaluer le nombre de personnels médicaux à affecter et à trouver où l'inverse.
Que faire des unités mobiles après 3 années de service ?
Ils appartiennent à l'état. A affecter au niveau national ou dans le cadre de l'aide internationale. Les bureaucrates savent faire.
Qu'est ce qui ne marche pas dans ce bon plan ?